La stratégie fatale pour monter son auto entreprise

monter son auto entreprise, La stratégie fatale pour monter son auto entreprise

Vous souhaitez créer votre activité ? Pouvoir exercer votre compétence, votre passion ou votre savoir-faire en étant votre propre patron ? Génial ! L’aventure entrepreneuriale est énergisante. Vous pensez sans doute à vous former dans votre compétence puis à trouver votre statut et vous installer ? Par exemple : se former en naturopathie et ouvrir directement son cabinet. C’est malheureusement la pire stratégie pour monter son auto entreprise.

Se lancer dans l’inconnu sans stratégie

Le schéma classique de la stratégie fatale

Dans l’exemple introduit précédemment, voilà le schéma de la stratégie fatale :

  1. Se former dans un domaine et acquérir du savoir et des compétences.
  2. Attendre d’avoir terminé sa formation pour monter son auto entreprise
  3. Se lancer directement
  4. Communiquer tant que bien mal voire en s’essayant à la publicité

L’importance d’une bonne méthode

monter son auto entreprise, La stratégie fatale pour monter son auto entrepriseMalheureusement, être entrepreneur ne s’invente pas. Avec cette stratégie vous dépensez beaucoup de temps et d’énergie dans un processus qui bat déjà de l’aile. La preuve, vous gagnez quelques centaines d’euros, vous peinez à trouver de nouveaux clients, vous remettez en doute votre légitimité, vous vous dites que vous n’êtes pas assez visible et surtout vous stressez tous les jours pour développer votre idée de projet écologique

Pire encore, avec cette méthode aléatoire, votre offre est floue, vous parlez à tout le monde et donc à personne de ciblé. Les factures s’accumulent surtout si vous misez sur de la publicité et en très peu de temps vous vous retrouverez à abandonner votre entreprise.

Vos peurs, frustrations et croyances limitantes refont surface petit à petit pour vous confirmer que l’entrepreneuriat était une mauvaise idée. Les paroles de votre entourage n’arrangent pas les choses :

c’était risqué, on t’avait prévenu, quelle idée de quitter le confort du salariat, on ne peut pas vivre de sa passion, ça ne peut pas être rentable.

Vous voyez où nous voulons en venir ? Sauter à pieds joints dans l’inconnu sans une stratégie précise ainsi qu’une offre claire et ciblée revient à se handicaper lourdement pour la suite de l’aventure.

Nous allons voir la méthode pour éviter cette stratégie fatale !

 

Par quoi commencer pour monter son auto entreprise ? 

monter son auto entreprise, La stratégie fatale pour monter son auto entrepriseLes 4 phases essentielles pour monter son auto entreprise

Voici un exemple de cheminement sur lequel nous accompagnons nos écopreneurs pour monter son auto entreprise en s’assurant que cette dernière soit pérenne et rentable.

Phase 1 : Trouver sa voie

Si nous reprenons l’exemple de la naturopathie, il ne suffit pas de devenir naturopathe et d’ouvrir son cabinet. Il faut trouver la niche d’activité dans ce domaine qui nous rend unique et différenciant pour nos clients. Sinon, on risque d’être un naturopathe de plus parmi tous les naturopathes, un coach zéro déchet de plus parmi tous les coachs, ou encore, un thérapeute de plus parmi tous les thérapeutes.

Une bonne idée de projet écologique se travaille et s’approfondit ! Pour cela apprendre à se connaître et entrer en introspection est essentiel. De même, c’est lors de cette première phase que l’on peut réellement travailler sur ses croyances limitantes et les freins qui nous empêchent d’avancer : relation à l’argent, vision des réseaux sociaux, position face à la réussite, etc.

Phase 2 : Poser les fondations pour monter son auto entreprise

C’est uniquement après un travail sur soi que l’on peut passer à l’étape suivante : poser les fondations de son entreprise. Comme pour une maison, si l’on construit des murs sans fondations, notre entreprise est la mercie de tout changement extérieur.

Il s’agit de définir un plan stratégique adapté : quel produit ou service précis mettre en avant ? À qui s’adresser ? Quelle stratégie d’acquisition de nouveaux clients mettre en place ? Quel est le parcours de ce client avec moi ? 

Phase 3 : Confirmer son idée et obtenir des certitudes de réussite

Avant de se lancer dans l’inconnu et de monter directement son auto entreprise, il faut pouvoir être certain que l’offre répond à un besoin. En clair, il ne faut pas jeter une bouteille à la mer et attendre que quelqu’un la trouve. Pour ce faire, on éprouve notre concept pour obtenir une validation de notre client idéal. Cela permet de ne pas dépenser inutilement de l’argent, du temps et de l’énergie dans un produit ou un service qui ne répond pas aux attentes de votre client.

Cette première preuve de concept est indispensable pour deux aspects :

  • Valider le passage à plus grande échelle et le lancement de son entreprise
  • Faire rentrer un peu de trésorerie

Phase 4 : Lancer et étendre son entreprise

Si et seulement si la preuve de concept est concluante, on peut organiser et orchestrer son lancement d’activité. L’étape de lancement est à soigner pour s’assurer une réussite totale. Quand son auto entreprise commence à prendre de l’ampleur et à être suffisamment rentable, c’est le moment de s’étendre. C’est-à-dire, envisager à déléguer et travailler sa gestion globale.

L’importance de se former à l’entrepreneuriat

monter son auto entreprise, La stratégie fatale pour monter son auto entrepriseToutes les phases énoncées plus haut paraissent presque trop simples ? C’est parce que ce sont en réalité de très grands plateaux à passer, eux-mêmes segmentés en plusieurs petites marches. Cet ensemble constitue un itinéraire jusqu’à la réussite durable de votre entreprise.

Comme tout chemin de randonnée, il peut arriver que l’on se perde sur un itinéraire :

  • On prend le mauvais tournant en ignorant une balise;
  • On part sous équipé à l’étape suivante et on se retrouve en difficulté;
  • On veut partir trop vite et trop fort et l’on s’épuise avant même la moitié de l’aventure;
  • On fait face à des épreuves difficiles mentalement et physiquement et l’on hésite à continuer à avancer.

En randonnée, on peut marcher à plusieurs pour avancer plus vite et plus loin. Former une communauté en entrepreneuriat est aussi indispensable. Partager une même dynamique et des retours d’expériences avec d’autres entrepreneurs, redonne l’énergie pour avancer.

De même, sur un terrain inconnu voire périlleux, on peut faire appel à un guide. En entrepreneuriat, le mentorat et le coaching sont des éléments fondamentaux pour réussir à monter son auto entreprise. Vous pourrez cheminer sereinement en ayant conscience de chaque étape à venir et tout en sachant qu’un mentor est là pour vous guider dans chaque difficulté.

C’est pourquoi, la meilleure stratégie que vous puissiez choisir pour créer votre entreprise, est de vous faire accompagner !

 

On commence quand ?

Vous vous reconnaissez dans cet article ou vous souhaitez éviter la stratégie fatale ? Venez approfondir les 4 phases essentielles pour devenir un écopreneur accompli lors de notre conférence en ligne sur l’écopreneuriat : cliquez ici pour vous inscrire gratuitement !

 

2 Responses

  1. Nicole DESCATOIRE dit :

    Bonjour,
    Malheureusement, j’ai attendu en espérant que les choses changeraient… attendu… en serrant les dents, en me confrontant aux manques de moyen et de clairvoyance professionnelle. Mes premières années ont été difficiles mais joyeuses en travaillant dans le bâtiment avec un ancien Compagnon qui m’a transmis énormément de compétences et de valeurs. Puis j’ai eu l’occasion de travailler dans la fonction publique Hospitalière pendant 15 ans (administration). Un peu désabusée (par le fonctionnement du service public) je l’ai quittée pour devenir assistante familiale dans l’espoir d’être plus disponible, pour ma famille et être présente pour les travaux de notre tout nouveau domicile, construit en 2008. Après dix années gratifiantes, les deux dernières, « grâce » au dernier enfant que j’ai accueilli, m’ont fait basculé vers l’épuisement total. Je dis bien « grâce », car sa présence a permis, par l’expérience, une prise de conscience de ce que je ne voulais plus. Aujourd’hui, alors que j’ai toujours été salariées, je suis en arrêt pour Burnout et à 58 ans, je cherche une porte de sortie. Je sais que je suis pleine de ressources et que j’ai malgré tout envie d’apporter à ma manière, ma contribution pour un changement positif de notre monde. Je n’imagine pas rester les bras croisés pendant 10 ans (au moins) avant de ne plus être utile 😉 , à la construction de lendemains joyeux et bienveillants pour les générations qui nous succèdent. J’ai envie de faire partie de ce changement, pour mes enfants, mes petits enfants, tout en prenant soins de moi, en allant vers ce qui me fait du bien. Le vivre ensemble, la bienveillance, l’inclusion, le bien être, la préservation de l’écosystème, la régénération des sols, planter des arbres… et tellement d’autres rêves qui m’animent encore. J’aimerais me lancer, mais je ne sais pas par où commencer.

    • Eva Farvaque dit :

      Bonjour Nicole, Vous n’êtes pas seule. Je vous invite à prendre rendez-vous avec nous en envoyant un email à info @ ecopreneur.life pour qu’on puisse en parler.

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