Trouver sa voie professionnelle : le coaching

Trouver voie professionnelle, Trouver sa voie professionnelle : le coaching

 

Transcription texte de la vidéo :

Du déclic vers la réorientation :

Qui est Aurélie Rayet ?

Benjamin : Salut les éco-preneurs, bienvenue pour cette vidéo on est à Périgueux chez Aurélie pour la rencontrer aujourd’hui. Je vais tout de suite la laisser se présenter dans quelques instants elle a beaucoup de choses à partager qui seront très intéressantes pour nous tous. On va avoir une petite discussion sympa, on est carrément en mode informel mais je pense qu’il va y avoir des éléments nickel. Est-ce que tu peux nous dire Aurélie qui tu es ?

Aurélie : Oui bien sûr.

Benjamin : Ce que tu fais.

Aurélie : Alors je suis coach personnel et professionnel donc j’accompagne que ce soit des individuels ou des entreprises voire des sportifs vers l’atteinte de leurs objectifs. Une personne vient me voir avec une problématique et ensemble on va voir comment atteindre cet objectif là en contournant les points de blocage, en levant les limites. Et du coup, en atteignant l’objectif de base.

Benjamin : Ok, donc il est clair pour tous que les éco-preneurs ce n’est pas forcément des gens qui sont en train de faire du maraichage biologique à mon sens, ou de faire je ne sais quelle activité écologique. On est vraiment dans la régénération de la planète et la régénération des humains. Et toi tu te situes vraiment sur cette partie-là !?

Aurélie : Exactement.

Benjamin : D’autant plus que tu as des aspirations aussi dans le futur qui seront encore plus profondes là-dedans. Donc on est vraiment dans la régénération des humains et le fait d’atteindre ses objectifs, dépasser ses croyances limitantes ça a tellement d’importance dans la création d’une entreprise telle quelle soit, avec des gens comme toi, sont très très très importants.

Comment trouver sa voie professionnelle

Benjamin : Est-ce que tu peux nous décrire ton parcours ? Comment tu en es arrivée là finalement, comme tu en es arrivé à coacher des gens ?

Aurélie : Alors à la base j’étais dans le sport, dans le domaine du management du sport en entreprise. J’étais salariée en CDI donc j’ai travaillé 4 ans en entreprise et je sentais un manque de sens, un besoin de liberté, d’autonomie que je n’avais pas en entreprise. Du coup, je me suis formée en parallèle au coaching et à la suite de cette formation je me suis lancée à mon compte en entrepreneur. J’en suis là maintenant avec un métier qui me passionne, qui a plus de sens pour moi et en totale autonomie, donc exactement ce que je recherchais.

Benjamin : Ok, donc super intéressant. Et ça a été relativement rapide d’après ce que je vois quand même, cette aventure.

Aurélie : En fait rapide, je suis quand même restée 4 ans en entreprise alors que ça ne me plaisait pas forcément!

Benjamin : Je parlais de la transition.

Aurélie : Oui la transition du moment où j’ai su ce que je voulais faire ça m’a pris 3 années pour vraiment mettre le doigt sur le métier qui me passionne. Et j’ai tout de suite cherché une formation, et à la suite de la formation j’ai immédiatement quitté mon job à temps plein pour me lancer dans cette aventure d’entrepreneur.

Benjamin : Tu me disais toute à l’heure quand on était en OFF que tu avais déjà une sensation de ne pas être dans le cadre d’entrée bien plus tôt en fait.

Aurélie : Exactement, dès l’école j’avais cette sensation d’être emprisonnée en tout cas dans un cadre, dans des normes et avec certaines règles qui n’étaient pas forcément les miennes qui sont les mêmes pour tout le monde alors qu’on est tous des individus différents avec des valeurs différentes. Effectivement que ce soit l’école ou après au sein de l’entreprise j’avais cette sensation un petit peu d’étouffement et de vouloir faire les choses par moi-même, c’est ce qui m’a poussé vers l’entrepreneuriat.

Mettre en place sa réorientation pour s’accomplir

Benjamin : Ce que je comprends aussi c’est que tu as anticipé ton départ de ton entreprise en commençant à te former avant cela quelque part à trouver ta voie quand même pendant que tu étais déjà en entreprise. Tu as déjà fait ce travail là au départ.

Aurélie : Exactement, c’était à un point ou je n’arrivais pas du tout à me lever le matin je me suis dit il va falloir que ça change, je ne vais pas passer une vie comme ça à venir travailler à reculons. Donc je me suis vraiment focalisée sur ce qui m’animait, à trouver ma voie

Benjamin : Alors cette voie comment tu y as été amenée ? Comment tu as trouvé ta voie justement ? Quel travail tu as réalisé pour la trouver ?

Aurélie : En fait j’ai fait un travail c’est de la connaissance de soi je me suis posée et j’ai listé ce qui me passionnait dans la vie de manière générale donc mes centres d’intérêt : l’humain éventuellement, aider, le fait d’accompagner les gens, mes valeurs, mes talents. J’ai fait un peu le cumule de tout ça et j’en suis venue au coaching. Il y avait la psychologie qui m’a toujours inspiré aussi mais j’ai découvert le coaching à Paris, il y avait beaucoup de conférences. Je suis très curieuse donc je me suis énormément ouverte aux conférences à tous ces évènements là et j’ai connu ce métier là de coach qui correspondait parfaitement à mes talents, mes valeurs, mes aspirations.

La transition vers le coaching

Benjamin : Tu as réalisé une formation qui a duré un certain temps, je crois que c’est 8 mois. À l’issue de ça c’est le grand bain donc là il faut se lancer, comment ça s’est passé pour toi ? Tu avais des revenus ? Tu n’en avais pas ? Comment le lancement s’est déroulé ?

Aurélie : J’ai eu la chance de négocier avec mon entreprise une rupture conventionnelle ce qui m’a permis d’être au chômage tout simplement au début jusqu’au temps où je génère mes premiers revenus et là le chômage me soit coupé. Maintenant j’en vis pleinement. Au début j’ai eu la chance de gérer ça, après c’est différent pour chacun.

Benjamin : Oui bien sûr.

Aurélie : Rien n’empêche de rester dans son emploi et de commencer son business en parallèle.

Benjamin : Oui c’est tout à fait jouable. Quelles ont été les premières difficultés que tu as rencontrées ? Est-ce que tu en as rencontrées déjà ?

Aurélie : Oui.

Les freins et difficultés du changement de vie professionnelle d’Aurélie

Benjamin : Quelles ont été ces difficultés si c’est le cas et comment tu les as transcendées ?

Aurélie : Oui des difficultés tout le temps même encore au final, la première difficulté c’est l’entourage qui ne comprend pas forcément pourquoi on quitte un emploi en CDI avec la sécurité.

Benjamin : Ça c’est très classique.

Aurélie : Et on se jette comme ça, pas mal de critique qui au final partent d’une bonne intention car ils s’inquiètent. Mais ça n’a pas été facile parce qu’on arrive à se remettre en question alors qu’on sait pertinemment qu’on est dans la bonne voie mais ça arrive quand même à nous impacter si on ne met pas de barrière chose que je ne faisais pas forcément au début et forcément ça atteint parce qu’on a envie de soutien et c’est un soutien qu’on n’a pas de la part de ces proches.

Benjamin : Il faut comprendre que lorsqu’on se lance dans l’entrepreneuriat on produit un effet miroir sur les gens qui leur rappellent parfois leur propre frustration et leur propre inaction de ne pas agir et du coup elles vous le renvoient en pleine gueule et c’est parfois assez déstabilisant oui.

Aurélie : Exactement, au début l’instabilité financière parce qu’on ne gagne pas sa vie du jour au lendemain donc forcément ça peut décourager. On peut se dire est-ce qu’on a fait le bon choix. J’avais ma sécurité financière en entreprise c’est compliqué. C’est sûr que c’est la persévérance, ne pas se décourager et adapter sa stratégie en permanence. Être persévérant oui, être patient oui, mais voir aussi que si ça ne fonctionne pas de cette manière comment on peut adopter sa stratégie donc en changeant son offre, sa communication je ne sais pas. En tout cas toujours jongler entre patience et stratégie c’est deux points importants.

Benjamin : Nous on ne s’est pas payé aussi pendant 1 an, 1 an et demi. Ensuite ça a été 750 euros par mois etc. Il a fallu apprendre à être sobre au départ, si on peut avoir une petite réserve ou une petite aide du gouvernement et autres c’est quand même cool. Tu rencontres quoi comme types de cas ?

Trouver sa voie professionnelle en se servant de sa propre expérience

Aurélie : Alors si c’est de jeunes entrepreneurs qui se mettent juste à leur compte ou qui en ont envie en tout cas il y a souvent cette peur, c’est la peur de l’insécurité. C’est ce que je rencontre le plus, la peur de faire le pas par sécurité financière parce que souvent ils ont dans la tête que se mettre à leur compte c’est tout quitter du jour au lendemain alors que c’est quelque chose qui peut se construire. Il ne faut pas voir l’entrepreneuriat comme le saut dans le grand bain ça peut se construire, ça peut être étape par étape. Moi j’ai eu la chance de pouvoir tout de suite quitter mon boulot mais il peut y avoir une stratégie derrière.

Benjamin : Oui c’est ça

Aurélie : ça peut être étape par étape, il faut être confiant en tout cas, être confiant dans sa stratégie.

Benjamin : Il faut la poser et c’est vrai qu’être accompagné pour ça c’est vraiment pas mal et en effet, on peut très bien se lancer dans l’entrepreneuriat en ayant déjà un job. C’est peut être même intéressant de conserver une source de revenus, ça dépend toutes les situations peuvent être bonnes.

Aurélie : Donc au début de l’activité c’est plutôt la peur financière et après c’est surtout quand la personne est déjà entrepreneur des limites personnelles qui ne sont pas forcément traitées et qui se retrouvent dans l’entreprise. Parce qu’il faut savoir que l’entrepreneuriat c’est un peu un miroir de qui on est en termes de personne et si on a des freins dans la vie personnelle on retrouvera forcément ces freins dans la vie pro.

Benjamin : C’est vraiment 80% d’état d’esprit et 20% de technique c’est souvent ça. 80% d’état d’esprit et 20% de technique alors c’est vrai que les gens se focalisent sur les 20% de technique mais c’est vraiment dans notre tête que ça se passe et plus on arrive à faire sauter des limites mieux c’est. Et c’est bien d’avoir des outils pour le faire en effet. Et donc dans la continuité de ton parcours Aurélie comment ça s’est passé pour trouver tes premiers clients pour finalement mettre la machine en route de ton entreprise ?

Aurélie : Alors déjà je me suis appuyée sur mon entreprise passée en entreprise, avec des contacts que j’avais déjà donc je me suis vraiment axée sur mon réseau existant et sur le fait de donner que ce soit des conseils à des gens que je ne connais pas forcément sur Internet, sur différents réseaux pour apporter de la valeur. Je me suis vraiment focalisée à donner de la valeur à donner aux gens pour ensuite être contacté.

Benjamin : Commencer à avoir des continuités. Ça rejoint typiquement ce que nous on enseigne dans la formation de devenir un éco-preneur accompli qui est d’avant de recevoir il faut savoir donner, n’importe quelle personne est capable de donner, un praticien de soin ou autre ou de coaching peut très bien proposer une prestation gratuite à certaines personnes pour commencer.

Aurélie : Exactement.

De la réorientation professionnelle vers l’épanouissement à travers le coaching

Benjamin : On commence à parler, on commence à se développer. Comment tu vis ton boulot aujourd’hui ? Tu peux nous dire comment tu fais ça ?

Aurélie : Pour ma clientèle de particuliers pour le moment je suis 100 % à distance mes séances se passent par Skype ou par téléphone ce qui ne change rien du tout au final. Ça me permet d’être mobile, après j’interviens aussi des fois en entreprise ou dans des structures où là effectivement je vais 2 mois dans une ville. Mais en tout cas je tiens à rester avec cette clientèle de particuliers pour être mobile et gérer ça à distance. C’est important pour moi.

Benjamin : donc finalement tu travailles d’où tu veux quand tu veux, quand tu veux je ne sais pas mais au moins d’où tu veux. Ça c’est un point qui est particulier parce que c’est ce qu’il fait vibrer Aurélie elle a envie de garder du temps et d’être mobile et c’est une chose. L’idée c’est vraiment dès le départ de savoir comment nous vivons. Comment Aurélie veut fixer ses objectifs et se dire, moi j’ai des enfants j’ai envie de ne pas travailler le mercredi après-midi. Nos objectifs d’entreprise et professionnels dépendent vraiment de nos objectifs personnels. On ne se pose pas assez la question souvent au départ des activités. c’est vraiment un point que moi je trouve hyper important parce que sinon on se retrouve kidnapper.

Aurélie : Exactement.

Benjamin : Par une activité qu’on a plus envie de faire.

Aurélie : Faire le point déjà au préalable sur ce qu’on veut atteindre, quel type de vie, quel style de vie on veut atteindre. Après faire en sorte de construire son plan en fonction de ce qu’on veut. Mais trop souvent on se lance dans une aventure sans savoir vraiment où on va. Ok l’entrepreneuriat c’est cool pourquoi pas, mais il y a différentes sortes d’entrepreneuriat, différente sorte de style de vie, différentes stratégies à adopter du coup en fonction. C’est bien d’avoir une vision de ce qu’on veut.

Benjamin : Dès le départ.

Aurélie : Exactement.

Benjamin : Travailler sur votre vision les amis, et c’est vrai que travailler sur sa vision ce n’est pas simple au départ mais ça passe par une chose dont on a beaucoup parlé quand on a déjeuné auparavant c’est l’introspection. C’est le fait d’aller chercher à l’intérieur ce qui nous fait vraiment vibrer et ça se fait en arrêtant de faire des choses. C’est aussi simple que ça. Arrêtons de faire des choses asseyons-nous sur le canapé une petite heure et ça il n’y a pas grand monde qui le fait aujourd’hui je pense. C’est un bon moyen pour rentrer dans cette phase là.

Aurélie : moi j’aime bien faire passer le message que tout est possible même si c’est quelque chose qu’on entend beaucoup mais ça parait simple comme ça mais tout est vraiment possible quelque soit sa situation de base, quelque soit son contexte, sa difficulté, ses handicaps. On ne va pas avoir la même facilité selon notre contexte c’est clair, il y a des inégalités en fonction d’où on vient.On aura des difficultés différentes. Mais en tout cas tout est possible c’est juste une question de travail sur soi et donc de stratégie. Certains auront besoin de travailler plus que d’autres sur différents détails donc encore une fois ça passe sur se connaître, savoir où sont nos forces et nos faiblesses, travailler nos faiblesses, à partir de là tout est vraiment réalisable il n’y a rien qui est inatteignable. Ça je le vois d’ailleurs dans mes coachings au final souvent l’objectif de la première séance il n’est pas du tout le même que l’objectif après la cinquième séance parce qu’on se fixe toujours des objectifs plus bas que ce qu’on aimerait sans s’en rendre compte. On a tout un tas de limites qui nous empêche de rêver plus grand.

Benjamin : alors les limites c’est lié à l’estime de soi souvent, c’est quoi ? c’est je ne suis pas capable ou je ne vais pas y arriver…

Aurélie : oui c’est  : ce n’est pas fait pour moi, je n’ai pas le talent nécessaire, ce n’est pas possible…

Trouver sa voie professionnelle, choisir sa vie et agir !

Benjamin : finalement on s’aperçoit que du talent on en a tous! il suffit de le trouver et de mettre son potentiel en action. Moi il y a un truc qui me motive énormément, c’est agir, si je n’agis pas à un moment donné je n’ai pas de réponse ni de résultat.

Aurélie : c’est important ce que tu dis puisqu’on parle de stratégie depuis tout à l’heure c’est bien d’avoir le plan posé mais au bout d’un moment il faut agir aussi. Il ne faut pas hésiter à agir même imparfait, même quand la stratégie elle n’est pas totalement finalisée parce que c’est aussi dans l’action et avec l’expérience qu’on va adapter, voir ce qu’il nous plaît ce qu’il ne nous plaît pas. Il ne faut pas hésiter à commencer imparfait en tout cas.

Benjamin : il ne faut pas hésiter à commencer imparfait et même je rebondirai sur ce que tu viens de dire il ne faut pas hésiter à échouer parce que même si on agit et que l’on prend un refus, un échec, je ne sais pas, si ça peut s’appeler un échec parce que c’est une expérience, au moins on a sa réponse et on sait qu’on n’est peut-être pas fait pour l’entrepreneuriat. Au moins on sait qu’on n’est pas fait pour cette niche là. Parfois des gens ont relancé des entreprises 5-6-7 fois avant d’avoir quelque chose qui fonctionne bien. Il faut une certaine dose de persévérance on peut essayer quand même de mettre beaucoup plus de chances de notre côté mais bon, ne pas hésiter à y aller dans cette action même si les choses sont imparfaites et même si derrière il y a quelque chose qui n’est pas le résultat qu’on attendait. Ce n’est pas grave. Le cheminement c’est déjà quelque chose qu’on aura intégré. Je vois que tu utilises pas mal le digital c’est quelque chose que je prône aussi. Comment tu procèdes ? Est-ce que tu as élaboré une stratégie ? Est-ce que tu as choisi des réseaux sociaux ou un modèle de travail particulier en fonction de quelque chose ?

Comment communiquer dans sa vie d’écopreneur

Aurélie : Alors moi j’utilise les deux réseaux sociaux les plus en vogue Facebook et Instagram je n’ai pas de stratégie particulière si ce n’est publier du contenu assez régulièrement sur des sujets qui me tiennent à cœur. Le but n’est pas de suivre une trame particulière mais de suivre mes envies, mes valeurs, d’afficher mes valeurs ce qui attirera des gens potentiellement avec les mêmes valeurs. Il ne faut surtout pas se changer et essayer de copier des gens du même secteur parce que ça ne fonctionnera pas si ce n’est pas vous. Donc vraiment suivre ses valeurs et publier des choses en fonction.

Benjamin : très juste. Et n’hésitez pas à polariser parce que justement les valeurs il faut les assumer, vous ne plairez pas à tout le monde. S’il y a des gens qui ne vous aiment pas c’est qu’il y a aussi des gens qui adorent ce que vous faites donc ce n’est pas grave. Donc OK super intéressant. Et du coup Facebook, Instagram, est-ce que tu as un retour sur l’efficacité des réseaux sociaux ? Est-ce que tu sais si Facebook te génère plus de clients que Instagram ?

Aurélie : Je reçois plus de clients d’Instagram.Instagram ça a vraiment pris le pas sur Facebook des gens qui ne me connaissent pas forcément me contacte. Donc Instagram marche beaucoup plus mais il y a moins de suivi que Facebook. Facebook j’ai des clients qui me suivent depuis le début et qui des fois me demande un coaching et puis après peut-être un second, il y a plus de régularité sur Facebook mais ça tourne beaucoup plus sur Instagram. Je ne sais pas si c’est clair.

Benjamin : Si c’est clair, est-ce que ta clientèle est plus jeune qui provient d’Instagram parce que je sais que c’est un réseau social plus jeune ?

Aurélie : Exactement tu as raison les gens sont plus jeunes sur Instagram que Facebook. Donc c’est deux cibles différentes c’est peut-être ça aussi qui fait que les gens sont plus fidèles sur Facebook même s’ils sont moins nombreux.

Benjamin : Intéressant. Tu travailles d’autres vecteurs ? Tu parlais de bouche-à-oreille ça reste quand même très important le bouche-à-oreille.

Aurélie : c’est ça après 1-2-3 ans d’activité après avoir eu des clients qui sont satisfaits. Ça c’est la meilleure communication possible, surtout dans un métier comme le coaching, le conseil. Des clients satisfaits sont des clients qui vont parler de vous en positif donc c’est forcément le meilleur vecteur de communication.

Benjamin : ça c’est valable dans tout tout tout les secteurs. 1 client satisfait c’est très chouette et c’est un ambassadeur pour la suite.

Aurélie : Exactement.

De la générosité, du partage, c’est déjà le début du coaching

Benjamin : Moi il y a quelque chose qui me plaît beaucoup encore une fois de donner, et de donner plus que ce qu’on veut recevoir. On appelle ça l’over delivery. C’est quelque chose de très chouette et que vous devez garder en tête : donner plus que ce que les gens veulent recevoir. Ça c’est vraiment quelque chose de très très très puissant.

Et pour trouver des sujets de publication sur les réseaux sociaux tu fais comment ?

Aurélie : Je m’inspire de mes clients, des problématiques que je rencontre en coaching tout simplement. Ça tourne souvent autour des mêmes choses, de confiance en soi, de peur, de lever des blocages, etc. Donc c’est ça qui m’inspire, mes clients sont ma source d’inspiration numéro une.

Vers quel statut Aurélie s’est orienté pour s’accomplir

Benjamin : Parfait c’est super. J’ai une petite question Aurélie qui me tarabuste, quel statut tu as choisi pour travailler ?

Aurélie : Je suis auto entrepreneur, enfin micro-entreprise. C’est un statut que j’ai gardé depuis le début je n’ai pas senti la nécessité de le changer c’est assez simple pour commencer, on n’a pas de charge.

Benjamin : Et tu n’as pas été conseillée forcément là-dessus pour l’instant ?

Aurélie : Pas tellement non je n’ai pas été forcément beaucoup conseillée.

Benjamin : Au niveau organisation de ton entreprise tu fais ta comptabilité c’est toi qui gères tes papiers pour le moment ?Aurélie : Oui en micro entreprise il n’y a pas besoin forcément de prendre un comptable.

L’offre coaching d’Aurélie

Benjamin : On va conclure cette interview Aurélie tu peux nous dire les prestations que tu proposes ? Dans le cadre de ton offre de coaching du coup.

Aurélie : je propose des packages souvent c’est un suivi sur 2 mois la première séance elle est tout le temps gratuite pour voir quelle est la problématique du client pour voir si on est OK, si on a le feeling pour travailler ensemble le client comme moi. Et en fonction de la problématique et de ce qu’on aura discuté je fais une proposition ensuite d’un nombre de séances en général ça s’articule autour de 2 mois donc à raison d’une séance par semaine. Ça fait du 8 séances à peu près.

Benjamin : En 8 séances vous avez fait sauter vos croyantes limitantes, vous avez franchi un cap et vous êtes prêts pour l’entrepreneuriat en tout cas trouver sa voie.

Aurélie : Oui, trouver sa voie, les problématiques ça peut être gagné confiance en soi, dépasser des peurs, des blocages, travailler son stress, travailler sa relation aux autres passer un pas supérieur dans ses relations dans son business.

Benjamin : Faites-vous accompagner les amis il y a plein de gens qui pensent que oui je peux y arriver tout seul etc. ce sont des accélérateurs de réussite les accompagnements. Moi je peux vous en parler parce que je crois que j’ai dépensé pas moins de 100 000 € en accompagnement j’y suis allé. On n’atteint pas ses objectifs et ses rêves sans se faire accompagner sans se faire aspirer par les gens qui ont des outils à nous proposer. Aurélie merci beaucoup pour cette interview.

Aurélie : merci à toi

Benjamin : C’était un plaisir. Si vous avez éventuellement envie et si vous êtes reconnu dans cette interview de faire intervenir Aurélie dans votre parcours vous êtes libre de regarder dans la description de cette vidéo je laisserai les coordonnées de ton activité et de ton site.

Aurélie : Merci à toi.

Benjamin : Et une très bonne continuation à tous. Et comme d’habitude les amis je vous dis enthousiasme, bienveillance et détermination ciao !

 

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